01. 2000 Black [Clay, Garfield] (5:26)
02. Magic Lady [Ayers] (3:18)
03. Show Us a Feeling [Brown] (3:06)
04. Ebony Blaze [Allen] (3:59)
05. Time and Space [Allen] (4:10)
06. No Question [Allen, Ayers, Birdsong] (4:29)
07. The Way of the World [Stepney, White, White] (3:30)
08. The Old One Two (Move to Groove) [Allen, Ayers, Birdsong] (4:32)
09. Miles (Love’s Silent Dawn) [Allen] (2:27)
10. A Tear to a Smile [Allen, Ayers] (5:52)
Roy Ayers Ubiquity: « A Tear to a Smile » (Universal Distribution / Polydor / Universal, 1975). Dans le vaste catalogue de Roy c’est un album à ne pas négliger. Il intervient après une série d’albums qui commencent par « He’s Coming » en 1971, où le vibraphoniste a été l’un des pionniers dans la réalisation d’un parfait mélange de jazz et de funk. Avec des arrangements de jazz. Les deux albums qui le précèdent sont « Virgo Red » et « Change Up the Groove », tous deux publiés en 1974.
Cet album est la suite logique des précedents, Roy aurait pu s’être installé dans la soul, aux cotés de groupes R & B émergents comme Earth, Wind & Fire, The Isley Brothers ou The Parliament, mais la musique de « A Tear To A Smile», est autre chose. Les sons proto-funk et disco dans cet ensemble sont aussi sophistiqués que leurs jazz-funk records, mais il ya des différences importantes. La place de la voix sur l’album peut servir de point de départ pour illustrer ce qui précède, car ils ont un rôle plus important que dans d’autres albums. Pour ce qui est de l’instrumentation, aucune objection des musiciens comme le bassiste William Allen (qui a écrit ou co-écrit la plupart des coupures et arrangeur pour la session), le pianiste Harry Whitaker et le batteur Bernard « Pretty » Purdie, entre autres.
On commence avec le funk Carl Clay-Wayne Garfield « Black 2000 » avec Ayers à la harpe, une ligne de basse qui dérange, et un chœur meurtrier. Les voix de Garfield et Ayers quittent la piste de danse, popur faire place à « Magic Lady »,qui se confond avec un son mystique de synthétiseurs, des mélodies sophistiquées, des chants délicieux et un revers détendus de premier ordre de séduction. Les vibrations, le remplissage dans les zones entre les lignes, et une section de cuivres avec Jon Faddis perçant la section rythmique.
Il y a l’incroyable « The Way of the World » de EW & F , encore plus jazzy que l’original. Le funk accéléré de Allen « Ebony Blaze », en utilisant des techniques de l’afro-beat de Fela Kuti utilisés par (Ayers qui finit par travailler avec). L’élégance et l’atmosphère de « Time and Space », avec le chanteur Bridgewater. Le plus dur est livré avec le funk « No Question ». Du Soul funk intergalactique, qui fournit une piste sonore de la direction qu’il prendrait dans son prochain album, le classique « Mystic Voyage ». Stellar, c’est un mélange de soul et de funk aux accents de jazz, qui représente une période de transition pour leurs vibes. Comme les tambours retentissants de Bernard « Pretty » Purdie!
MEMBRES:
Roy Ayers Producteur, Arrangeur, Compositeur, Synthétiseur Moog, Orgue, Piano, Vibraphone, Choeurs
William Allen Arrangeur, Basse, Compositeur, Synthétiseur Moog
Carl Clay Arrangeur, Compositeur, Piano (électrique)
Wayne Garfield Arrangeur, Compositeur, Chant
Harry Whitaker Piano (électrique)
Allan Gumbs Onaje Piano (électrique)
Ronald Moseley Piano (électrique)
Conga O’Ferral Chano, Percussions
Jimmy Owens Trompette
Seldon Powell saxophone (ténor)
Bernard Purdie Drums
Chant Birdsong Edwin
Dee Dee Bridgewater Chant
Calvin Brown Guitare
Debbie Chant Burrell
Terry Burrell Chant
Carolyn Byrd Chant
Babe Clark Saxophone (Baryton)
Richard Clay saxophone (soprano)
Debbie Chant Darby
Dennis Davis Batterie
Jon Faddis Trompette
Alexander Foster saxophone (soprano)
Jerry Friedman Guitare
ou