A1. Shine On 4:00
A2. Hollywood Dreaming 4:44
A3. Dance Do It 3:26
A4. Wild Woman 5:35
A5. Music Use It 3:31
B1. Got to Get Away 4:34
B2. Gone Bad 3:36
B3. My Grandma 4:25
B4. Music for Your Mind 2:38
B5. You Can Get It 4:10
Et à l’écoute, sa rareté n’a d’égale que sa qualité…et pourtant, « Father’s Children » sera un flop commercial à sa sortie !
Et « Father’s Children » c’est aussi 10 titres exceptionnels, tant par la qualité que par le style éclectique :
L’album débute sur la première baffe « Shine on », morceau servi sur une basse nerveuse, pour continuer sur « Hollywood Dreaming », plus soft, avec de belles phases de cuivres.
« Dance do it » et « Wild Woman » remettent la gomme, et arrive le uptempo « Music use it » qui termine la face A comme elle a commencé…on reste scotché.
La face B se voudra plus différente à l’image des deux balades « Got to get away » et « Gone bad » pour arriver sur le jazzy « my Grandma » (a noter le break façon reggae).
« Music for your mind » coulera tout seul sur sa basse synthé, avant d’arriver sur un des meilleurs morceaux de l’abum : « You can get it ».
Ce bijou de Funk, est hélas quasiment intouchable en original, mais il a été réédité récemment, malheureusement de façon « pirate » (bootleg) dont la qualité du mastering et de la couverture peut laisser franchement perplexes…
Father’s Children est composé de:
Sadik Abdul Hagg (batterie, percussions et background vocal),
Tony Vaughn pour les claviers (et la voix parlée de « Shine On »),
Pour les chœurs on notera également le featuring de quelques membres de Side Effect (entre autre Gregory Matta).