PISTES:
01. The Cylinder (Jackson) – 2:46
02. Makin’ Whoopee (Donaldson-Kahn) – 3:03
03. Alone Together (Dietz-Schwartz) – 4:51
04. Tenderly (Gross-Lawrence) – 4:29
05. Don’t Worry ‘Bout Me (Koehler-Bloom) – 4:03
06. Nuages (Reinhardt) – 3:38
07. Deep in a Dream (Van Heusen-DeLange) – 3:40
08. I’m a Fool to Want You (Wolf-Herron-Sinatra) – 4:39
09. The Midnight Sun Will Never Set (Jones-Salvador-Cochran) – 3:45
10. Tomorrow (Jackson) – 3:23
BIO:
Né à Détroit en 1932, le vibraphoniste Milt Jackson restera dans l’histoire du jazz comme le «alma mater» de l’un des combos de jazz les plus célèbres et une meilleure qualité dans l’histoire de cette musique, « The Modern Jazz Quartet ».
Nul doute que nous parlons également de l’un des trois grands joueurs de vibraphone jazz, avec Lionel Hampton et le rouquin, Red Norvo. Ses premiers flirts avec le jazz, a donné la main du grand trompettiste Dizzy Gillespie grand groupe en 1946. Plus tard, en 1946 et 1948, il a travaillé avec les plus grands musiciens de l’époque du be-bop comme Charlie Parker et Thelonious Monk. Gillespie, l’a réclamé pour son sextet en 1950 et a passé deux ans avec lui, avant de fonder le combo de jazz, connu internationalement et qui restera dans l’histoire du jazz: « The Modern Jazz Quartet » formé en 1952 avec le pianiste John Lewis, Percy Heath le bassiste, le batteur Kenny Clarke et Milt Jackson au vibraphone.
Avec The Modern Jazz Quartet, Milt Jackson, a parcouru le monde avec des apparitions et des disparitions momentanées, avec des substitutions entre ses composantes, mais toujours sa musique exquise, d’affiner leur son est sorti indemne de tous les défis. Discographie Milt Jackson est impressionnante tant en face du MJQ, comme menant d’autres formations et les combos, avec un répertoire allant de la balançoire classique, be-bop à l’hétérodoxie.
The Ballad Artistry of Milt Jackson. Une section de cordes, magistralement arrangé et dirigé par Quincy Jones. La section rythmique est superbement intégré dans les arrangements, qui sous-tend les violons et les violoncelles de jazz. Par-dessus tout, Jackson est lui-même, son phrasé toujours impeccable et subtile, et se sent à son rôle en tant que soliste en vedette. Le bassiste Milt Hinton, le batteur Connie Kay, le guitariste Barry Galbraith, et le pianiste Jimmy Jones forment la section rythmique pour cette session 1960.
L’interaction de Jackson et Heath avec le pianiste Tommy Flanagan, le batteur Connie Kay, et le bassiste Alvin Jackson fournit l’intérêt principal. L’ensemble est joliment complété par deux pistes avec le guitariste Kenny Burrell.
CREDITS:
Milt Jackson – vibesDon Hammond – flûte hauteRomeo Penque – roseauxMax Cahn, Alexander Cores, Paul Gershman, Julius Held, Léon Kahn, Harry Katzman, Harry Lookofsky, David Nadien, George Ockner, Gene Orloff, Leonard Posner, Sol Shapiro – violonAl Brown, Harold Coletta, Burt Fisch, David Mankowitz – altoMaurice Brown, Charles McCracken, Harvey Shapiro, George Ricci – violoncelleGloria Agostini – harpeJimmy Jones – piano, arrangeurBarry Galbraith, Chuck Wayne – guitareBill Crow, Milt Hinton – basseConnie Kay – batterieQuincy Jones – arrangeur, chef d’orchestre
Enregistré à New York le 1er mai 1959 (pistes 6, 7, 9 et 10), le 9 Septembre 1959 (pistes 4, 5 et 8) et 10 Septembre 1959 (pistes 1-3).