1. The Thrill Is Gone 5:27
2. Aint Nobody Home 3:17
3. Let The Good Times Roll 5:31
4. Guess Who 4:09
5. I Like To Live The Love 3:31
6. Dont Answer The Door 5:12
7. Sweet Sixteen Parts 1 & 2 6:12
8. Paying The Cost To Be The Boss 2:35
9. I Got Some Help I Dont Need 3:24
10.Into The Night 4:11
11.In The Midnight Hour 3:23
12.My Guitar Sings The Blues 3:40
13.My Lucille 3:41
14.Why I Sing The Blues 8:38
15.How Blue Can You Get 2:42
16.To Know You Is To Love You 3:51
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Tous les articles du mois de mars 2013
1 whip whop
2 gathering together
3 judy’s groove
4 texas twister
5 ain’t no woman (like the one i got)
6 i want to talk about you
7 star in the crescent
Les coupes avec la plus grande bande ont tendance à être plus funky, comme «whip! Whop! ». Mais ailleurs, ils se penchent vers une approche plus soul-jazz, avec « judy’s groove »,un joli swing et un beat qui marche. « Star in the Crescent » est un retour au classique, plus axée sur du bop des années 60 de style soul-jazz. Sparks décolle quelques riffs de foudre fluides et en donnant beaucoup d’espace à la batterie d’Idris Muhammad et à l’orgue skittering de César Frazer. Texas Twister a été combinée avec la LP 1975 ’75 sur une réédition CD monodisque.
1. Tramp – 3:06
2. I’m Sinkin’ – 4:04
3. Get Your Game Up Tight – 2:39
4. Back Door Key – 3:28
5. Two Way Wishing – 2:45
6. Lonely Day – 3:25
7. Black Nights – 3:34
8. Year of 29 – 3:50
9. No Hard Feeling – 3:23
10. Hustler’s Game – 3:25
11. Goin’ Home – 3:06
12. Pico [Instrumental] – 2:58
13. Year of 29 [Alternate Take][*] – 4:19
14. Tramp [Take 1][*] – 3:58
Curtis Tillman – Basse
Maxwell Street Jimmy Davis – Piano, ArrangeurChuck Thomas – Batterie
Joe Josea – Compositeur
Jules Taub – Compositeur
Graisses Washington – Compositeur
Arthur Adams – Guitare
Mike Akopoff – Producteur
Chanceux Cordell – Notes de programme
René Salle – Guitare
Jackie Kelso – Sax (Baryton)
Le projet de loi Lazerus – Ingénieur
Lowell Fulson – Guitare, Chant Compositeur,
Jimmy McCracklin – Compositeur
1 I’m a Drifter 2:49
2 Funky Broadway 2:55
3 Let’s Go Get Stoned 2:29
4 Push Me 2:35
5 The Letter 2:32
6 I Cried aka I Cried Like a Baby 3:04
7 Feel So Bad 2:49
8 Everyday I Have the Blues 3:01
9 Mellow Together 2:46
10 Going to Chicago 2:47
11 Confessin’ the Blues 2:54
12 Tomorrow 2:50
13 Blues Pain 5:19
14 I Wanna Spend Christmas with You 5:06
Lowell Fulson – Guitare, Compositeur, Chant
Arthur Adams – Guitare
A1 Everything I Do Gonna Be Funky 3:20
A2 Marbles 6:25
A3 Will It Go Round In Circles 3:20
A4 Livin’ For The City 4:59
B1 Sideshow 4:48
B2 Willow Weep For Me 6:20
B3 Hey, Love! 3:17
B4 Are You Foolin Me 3:07
Cet opus donc le troisième de sa carrière sur le label Groove Merchant a plus d’un atout dans son sac et est considéré comme un de ses meilleurs.
On attaque cette galette avec le titre éponyme « Everything I Do Gonna be Funky », inspiré de la version d’Allen Toussaint, tout en s’en détachant. On est tout de suite happé par cette rythmique crunchy à la guitare wah wah, sur laquelle vient se poser une voix suave à la Isaac Hayes. La seconde guitare vient rapidement prendre le pas : un solo rapide de notes rondes, précises, typiques du son jazzy extrait de la demi-caisse d’O’Donel Levy. La section de cuivres apporte la touche finale de chaleur à cette introduction tout en groove.
Le titre de Billy Preston, « Will It Go Round In Circles » est proposé ici sur un rythme rapide et entraînant. O’Donel et le percussionniste Judd Watkins nous agrémentent de belles harmonies vocales avant de nous gratifier d’un solo endiablé, véritable apothéose sur toute la seconde partie !« Living in the city » est également une élégante reprise instrumentale du célèbre morceau de Stevie Wonder. Le trio formé par les 2 guitares et le clavier s’échangent les thèmes et entremêlent leurs harmonies pour restituer un véritable chœur, humanisé par les pulsations subtiles de la wah-wah.
« Side Show » est le morceau le plus lancinant de l’album, instant de douceur entre 2 tranches généreuses de funk. « Willow Weep For Me » est un morceau aux forts relents de blues. Celui qui vient du fond d’un bar enfumé, à siroter une bière tiède à la main, bercé par la ligne de basse…Le smooth jazz de « Hey Love! » et « Are you Foolin Me » clôturent tout en douceur cet album à découvrir.
L’album « Simba » sortira un an plus tard en 1974, c’est aussi un must-have de toute discographie jazz-funk. Ecoutez « Bad Bad Simba », bijou instrumental de 7 minutes d’un crescendo explosif ! A redécouvrir !
01. Stop And Think (1977 Mix)
02. Save A Place (1977 Mix)
03. Trammps Disco Theme
04. Love Epidemic (1977 Mix)
05. Where Do We Go From Here (1977 Mix)
06. Promise Me
07. Just Say The Word
08. Oh Waa Hey
09. Trusting Heart
10. Stop And Think (Alternate Mix)
11. Save A Place (Alternate Mix)
12. Where Do We Go From Here (Alternate Mix)
13. Love Epidemic (Alternate Mix)
Sont bien connu pour son grand succès « Disco Inferno » (1977), qui a été inclus sur la bande originale de Saturday Night Fever plus tard cette année atteint le numéro 11 sur la position du Billboard Hot 100 en mai 1978. Un autre grand succès a été Hold Back the Night (1975) et That’s Where the Happy People Go (1976).
À la fin de 1977, The Trammps enregistre la chanson « The Night the Lights Went Out » pour commémorer la panne d’électricité qui a touché la ville de New York le 13 Juillet 1977 (coup d’oeil à la ville de New York Blackout de 1977).
En 2000, Mills Jerry Collins, un membre du groupe, a été reconnu coupable de frapper sa femme avec un pistolet le jour de la Saint Valentín, pour une infidélité présumée. Collins a été reconnu coupable et condamné à 12 à 35 ans de prison.
Le 19 Septembre 2005, le groupe a signé un record pour « Disco Inferno » a été inclus dans le Hall of Fame Dance Music lors d’une cérémonie à New York.
Chant principal (Jimmy Ellis) 1972
* Norman Harris – Chant / Guitare
* Ronnie Baker – basse
* Earl Young – chant / tambours
* Ed Cermanski – clavier / piano
Formation 1980
* Jimmy Ellis – chant
* Robert Upchurch – chant
* Harold Wade – chant / guitare
* Stan Wade – chant / basse
* Earl Young – chant / tambours
01 – Let ’em In
02 – Bring the Family Back
03 – Sooner or Later
04 – I Think I’ll Stay Home Today
05 – Me & Mrs Jones (live)
06 – One Man’s Junk
07 – How Good is Your Game
08 – False Faces
09 – Takin’ It to the Streets
10 – So Glad to See You Again
11 – I Trust You
12 – Don’t Give Up On Us
13 – You’re My Sweetness
14 – Everybody’s Breakin’ Up
15 – Only the Strong Survive
2. Sikiliza
3. Racubah
4. Ozan Koukle
5. Afon
6. Scorpio Flower
7. Heels and Soles
8. The Gap
9. Red Match Box
10. Little Sister
11. Ozan Koukle (Radio Edit)
Batterie – Donny Donable
Guitar – Larry Jones
Horn, Clavinet, Flûte – Arthur Young
Horns – Vincent Holmes
Clavier, Sac Magique – Frank Abel
Claviers – Mal Waldron
Mastering Engineer – André Perriat
Percussion – Keno Speller
Percussions – Toulee
Produit par Pierre Jaubert
1. Do You Feel It (Tu Lo Sientes) – Joe Cuba Sextet
2. Johnny’s No Good – Joe Bataan
3. Big T – Tito Ramos
4. Brother, Where Are You? – Falfi Pagan
5. Black Brothers – Tito Puente
6. Either You Have It Or You Don’t – Charlie Palmieri
7. The Main Man – Ralphie Robles
8. New York Soul – Ray Barretto
9. Boogaloo Lebron – Lebron Brothers
10. Lady Marmalade – Mongo Santamaria
11. Si Dame Tu Amor – Cafe
12. Calle Luna Calle Sol – Willie Colon
13. Que Se Sepa – Roberto Roena
14. Puerto Rican Soul – Pete Bonet
15. Red Garter Strut – Fania All Stars
16. Measure For Measure – The Alexander Review
1. Move With Me
2. Get on Top
3. Sweet Surrender
4. Nighthawkin’
5. Devil Eyes
6. Hong Kong Bar
7. Make It Right
Move With Me est un morceau classique dans sa structure mais efficace, un vrai moment de soul emballante et entraînante, avec basse groovante, saxophone et choristes.
Make It Right lui répond en quelque sorte en conclusion avec les mêmes qualités tirées de son classicisme soul mais prenant de l’ampleur sur les refrains.
Sweet Surrender s’inscrit, quant à lui, davantage dans les morceaux made in Buckley, avec une durée de plus de six minutes, des structures mouvantes qui se renouvellent sans cesse et quelques fulgurances au chant bien senties. Cette chanson est celle qui témoigne le plus de l’approche de Tim Buckley par rapport à la soul, et ce que son talent de composition apporte au genre : davantage, si c’est possible, de viscéralité grâce à la liberté échevelée que l’artiste essaie d’insuffler dans ses morceaux.
Un bon album mais il est moins inspiré que peuvent l’être Goodbye & Hello et Happy Sad (sans parler des autres disques de Buckley). Le chanteur a su s’approprier la soul et le rhythm and blues pour les façonner à sa manière et en livrer sa propre version.