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1,2 milliards de personnes habitent en Indes et 300 millions de personnes parmi la population possède une identification nationale officielle.
L’identification nationale des Indiens sera accélérée par une nouvelle technologie nommée « Aadhaar ». La carte ID implique la prise d’empreintes digitales, le scan du visage, la signature électronique, toutes des données qui sont entrées dans une base de données et sur une carte ID.
En ce matin d’été étouffant, une longue queue s’est formée devant l’école de Patwari, une bourgade agricole proche de New Delhi. Les femmes, les cheveux voilés par le purdah, ont mis un beau sari. Les hommes tiennent les enfants par la main. Tous se serrent les uns contre les autres. Depuis quelques jours, le tambour du village sillonnait les rues, martelant son message : « Il faut aller au ‘recensement biométrique. »
Une opération très simple : une photo du visage, une analyse de l’iris et l’empreinte des doigts fourniront une identité biométrique, conservée à jamais dans une base informatique. Elle prendra la forme d’un numéro à 9 chiffres.
L’Inde a ainsi lancé un vaste projet visant à constituer une base de données biométriques de ses habitants, remporté en 2010 par l’entreprise française Morpho, filiale du groupe d’armement et de défense Safran.
Dans son édition du 2 janvier, Le Figaro détaille. Ce « marché de l’identité » de 1,5 milliard de dollars – que Morpho partage avec une autre filiale de Safran – entend collecter les empreintes digitales et les scans de l’iris de 200 millions d’Indiens d’ici à juin prochain. A terme, elle recensera l’intégralité de la population du deuxième pays le plus peuplé du monde.
Pour l’Inde, l’enjeu est central, puisqu’il vise ni plus ni moins à court-circuiter la corruption, dans un pays où plus des trois-quarts de l’aide sociale sont détournés.
Il ne fait qu’exposer davantage l’arnaque vaccinale et les moyens mis en oeuvre pour couvrir cette folie.
1. savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas
2. savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir.
3. savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants
4. se sont entendus pour mentir au public
5. se sont attelés à empêcher les études de sécurité.
En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.
L’exposition de la supercherie du vaccin est en cours est comparable avec le beaucoup plus vieux canular de la grippe mortelle de 1918-19. C’est l’aspirine qui a tué des gens en 1918-1919, pas une grippe pandémique. C’était la plus grande catastrophe industrielle dans l’histoire humaine avec 20 millions de personnes décédées, mais il a été attribué à une grippe. Le début de l’industrie du médicament a commencé avec ce succès (et Monsanto en faisait partie).
Le mythe de la grippe a été utilisé par George Bush afin de menacer le monde avec « une autre pandémie de grippe qui pourrait tuer des millions de personnes » – une tactique de terreur pour obtenir des lois concernant les pandémies dans chaque État et dans le monde entier. Puis le CDC utilisé le canular pandémique pour créer la terreur avec la grippe H1N1 et proposer des vaccins mortels sur le public, tuant ainsi des milliers d’enfants à naître et d’autres à venir. (Le CDC ne fournit pas ses données et continue à fournir le même vaccin). Le canular de la pandémie de 1918-19 a été exposé par le Dr Karen Starko et ses travaux sur le rôle de l’aspirine.
1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.
2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.
Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.
Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.
Par Andrew Baker, NSNBC International, 10 mai 2013
Si vous prenez régulièrement vos billets de train en ligne, vous l’aurez sans doute remarqué : plus vous attendez avant d’acheter, plus le prix augmente. Normal, direz-vous. Plus on approche de la date de départ, moins il y a de places, plus elles valent cher.
Mais si on vous disait que plus vous vous connectez, plus le prix augmente, alors même que le nombre de places reste constant ? La faute à l’« IP tracking », ou « le pistage d’adresse IP », une technique qui existe depuis le milieu des années 90. Comme l’explique le blog SOS conso du Monde, « le principe est simple » :
Mais si vous n’achetez pas immédiatement et que vous réessayez un peu plus tard, l’opérateur a gardé en mémoire que vous aviez manifesté un intérêt pour ce trajet, et il vous propose alors un prix un peu supérieur « p+e », ceci afin de susciter l’achat immédiatement en vous laissant penser que le nombre de places diminue et que le prix augmente.
Et ceci même si aucun changement n’a eu lieu, même si aucun autre client ne s’est manifesté. Il s’ensuit une logique incrémentale : plus vous allez réitérer la simulation, plus le prix va augmenter ? toujours par petit palier. L’objectif est très clair : provoquer la vente. Et ça fonctionne très bien. »
Est-ce légal ? Pour l’instant, oui. L’eurodéputée socialiste Françoise Castex a saisi la Commission européenne ainsi que la Commission nationale de l’informatique et des libertés à ce sujet (CNIL).
Cette dernière, jugeant que cette pratique « suscite de nombreuses interrogations », a décidé, conjointement avec la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), de « mener une enquête afin de déterminer si les dispositions relatives à la loi « Informatique et Libertés » sont respectées ».
La SNCF ne pratiquerait pas l’IP tracking…
Suite à la publication de cet article, la SNCF a contacté Rue89 afin d’assurer qu’elle ne pratiquait pas l’IP tracking :
En attendant, pour esquiver l’IP tracking, un seul moyen : changer d’adresse IP. Afin de vous permettre de partir en week-end sans vous ruiner, cet article vous propose quelques techniques simples. Pour vérifier qu’elles fonctionnent, plusieurs sites vous indiquent quelle est votre adresse IP actuelle.
1) Eteindre, puis rallumer sa box : simple, mais pas toujours possible
Première méthode envisageable : vous pouvez éteindre puis rallumer votre box. Certains utilisateurs de la Freebox connaissent cette technique. Lorsque l’adresse IP change après chaque redémarrage de la box, on dit qu’elle est dynamique. A chaque établissement d’une connexion, le fournisseur d’accès attribue une adresse IP différente.
Cependant, les abonnés à la Freebox en zone dégroupée ont par défaut une adresse IP fixe. Les conditions d’attribution d’une adresse IP dynamique ou fixe dépend des opérateurs. L’adresse IP est fixe par défaut, sur demande, voire en payant un supplément. Dans le doute, il faut faire l’essai. Précision utile : il est inutile de se connecter à partir d’un autre ordinateur si celui-ci est connecté à la même box.
2) Smartphone et 3G : le fusil à un coup
Si vous ne possédez pas un smartphone avec une connexion 3G, passez directement au point suivant. Pour les heureux propriétaires, sachez qu’un smartphone peut vous permettre de contourner l’IP tracking.
En effet, l’adresse IP délivrée par votre fournisseur d’accès 3G est différente de celle délivrée par votre fournisseur wifi. Il est donc possible de comparer les prix des billets sur différents sites avec un ordinateur et de finaliser l’achat avec un smartphone (ou inversement).
Note du veilleur : Dans ce cas de figure, pensez à vous déconnecter de votre réseau wi-fi, sans quoi certains téléphones (ex: iphone) utiliseront l’adresse ip de votre box.
3) Il a FreeWifi, il a tout compris
Plusieurs fournisseurs d’accès permettent, grâce à un identifiant et un mot de passe, de se connecter à un réseau sans fil à partir de n’importe quelle box du même opérateur. Par exemple, si votre fournisseur d’accès est SFR, vous pouvez vous connecter au réseau SFR wifi public proposé par n’importe quelle box SFR. Autrement dit, vous bénéficierez d’une nouvelle adresse IP.
Il existe toutefois quelques problèmes. En février 2012, la Fédération France Wireless révélait qu’il existait une faille dans le réseau SFR wifi : lors d’une connexion, vous vous appropriez l’adresse IP du propriétaire de la box. Ce qui peut être potentiellement embarrassant pour lui…
4) VPN : surfons heureux, surfons cachés
Il existe aussi des manières moins artisanales de contourner l’IP tracking. L’utilisation d’un VPN (« virtual private network », ou réseau privé virtuel) permet d’accéder à un serveur doté d’un tunnel sécurisé où les données sont cryptées.
Le serveur permet, en outre, de bénéficier d’une nouvelle adresse IP, donc d’une nouvelle identité, quand on établit une connexion publique. Il existe de nombreux VPN gratuits, qui ralentissent la connexion, ou payants. A noter : les VPN sont légaux – les utiliser pour contourner Hadopi, moins.
5) Brouillez les cartes avec un « proxy »
C’est une méthode très courante pour masquer son adresse IP. Un serveur « proxy » (qui signifie « mandataire » en anglais) sert d’intermédiaire entre l’ordinateur utilisé et le serveur qui héberge le site consulté. Cette connexion indirecte permet, en chemin, d’anonymiser l’adresse IP de votre ordinateur. Simple et efficace.
Note du veilleur : Vous pourrez trouver de nombreux proxy gratuits avec une simple recherche google, comme par exemple free-proxy, ainsi que de nombreux tutoriels pour vous aider à y voir plus clair sur leur utilisation. Sachez également qu’il existe des logiciels tout prêts à l’emploi pour masquer votre ip par l’utilisation de proxy.
6) Foudroyez l’IP tracking avec « Tor »
Tor (pour « The Onion Router » – lien) est le fameux « underworld » d’Internet, le lieu où pédophiles, terroristes et autres criminels discrets rôderaient, dans le plus strict anonymat. Mais c’est aussi un moyen pour les dissidents chinois, birmans ou encore iraniens de s’exprimer en contournant la censure.
Le principe est simple : tous les internautes qui surfent sur Tor mettent leur adresse IP dans une cagnotte commune. Les adresses IP sont mélangées, puis redistribuées au hasard. Environ 250.000 personnes sont en permanence connectées à Tor.
7) On oubliait les cookies
Une autre méthode de tracking très répandue est l’utilisation des cookies, permettant de récolter des informations sur vos habitudes de navigation. Un conseil simple : utiliser des fenêtres de navigation privée sur Chrome ou Firefox permet d’éviter le stockage des cookies.
Pendant 12 jours, les étudiantes Danoises ont étudiés deux semences de cresson. La première exposée aux ondes wifi, la deuxième isolée de toute radiation. Résultat : les graines exposées n’ont presque pas germé et quelques-unes ont même muté, alors que celles situées dans la chambre sans radiation ce sont développées sans problème (comme le montrent les deux photos ci-dessous).
L’expérience
L’idée de cette expérience leur est venue des difficultés rencontrées à se concentrer pendant les cours. L’une d’elles raconte :
« nous pensions que les problèmes de concentration à l’école et parfois d’insomnie venaient du fait que nous dormions avec nos téléphones portables à côté de notre tête »
De ce constat, elles ont imaginé une expérience facilement réalisable montrant l’effet des ondes. Elle ajoute :« c’est vraiment effrayant d’observer un effet aussi flagrant et nous avons été vraiment frappées par de tels résultats. »
Les réactions
« dans les limites de leurs compétences, les filles ont mis sur pied et documenté un travail d’une grande élégance. La richesse de détails et de précisions est exemplaire, le choix du cresson est très intelligent, et je pourrais continuer mes éloges. »
Plus de mobiles à coté de la tête
Au final, les étudiantes ont reçu le prix du concours « Jeunes Chercheurs ». Fort des conclusions tirées de leur expérience, elles ont décidé de poser leurs téléphones à l’extérieur de leurs chambres et d’éteindre leurs ordinateurs systématiquement avant de se coucher.
Pendant ce temps-là, un peu partout dans le monde le wifi se démocratise en devenant de plus en plus commun, puissant et rapide. Dernièrement, le Coréen Samsung vient de battre un record de vitesse pour un réseau wifi en obtenant une liaison avec un débit de 40 Go/s. Une telle vitesse équivaut à une bande passante capable de transférer 10 films HD en une seconde. De tels débits pourraient arriver dans quelques années avec la norme 5G.
PISTES:
1. Freddie’s Dead 7:11
2. Family Affair 4:23
3. Something For Nothing 2:58
4. Back Stabbers 6:31
5. Lay In Low 3:43
6. Poinciana 5:52
7. T.S.O.P. (The Sound Of Philadelphia – Live) [Bonus Track] 3:53
Ils ont travaillé en étroite collaboration avec l’équipe de production de Gamble et Huff et le producteur / arrangeur Thom Bell et sauvegardés des groupes tels que Harold Melvin & the Blue Notes, les O’Jays, la stylistique, les Spinners, Wilson Pickett, et Billy Paul.
C’était en 1972 sortie de leur premier album, MFSB, qui les a mis sur la carte. Cela a marqué le début d’une série de hits instrumentaux qui ont porté une grande attention à un grand orchestre qui a jeté les bases pour le Sound of Philadelphia.
Le line-up de musiciens inclus Karl Chambers et Earl Young sur batterie, Norman Harris, Roland Chambers, Bobby Eli et TJ Tindall à la guitare, Winnie Wilford et Ronnie Baker à la basse, Vince Montana et Larry Washington au vibraphone et percussions, Harold Ivoire Williams aux claviers, ainsi que Leon Huff et Thom Bell claviers et Don Renaldo sur cordes et des cors Rocco Bene à la trompette.
PISTES:
01. Manila (4:51)
02. Key Largo (3:33)
03. Tumbao (6:45)
04. Bludan (3:07)
05. Chispita (3:26)
06. September Song (3:44)
07. Cal’s Pals (3:35)
08. Para Ti (3:27)
09. Mamblues (4:41)
10. Afro Blue (6:33)
11. Cuban Fantasy (6:30)
12. Rezo (5:59)
13. Mambo Terrifico (4:22)
14. A Night In Tunisia (8:35)
15. The Continental (4:45)
BIOS:
Cette collection est une partie obligatoire de la collecte non seulement pour les amateurs, mais aussi pour le jazz latin salsa.
Maître Tjader a été un exemple pour les pianistes, musiciens, arrangeurs et chefs d’orchestre, qui trouvent dans son travail une source inépuisable d’idées et de ressources instrumentales. Il est important de souligner la participation de Mongo Santamaria, Willie Bobo et Eddie Cano, qui appartenaient également au groupe de Maître Tjader.
PISTES:
01 – Introduction
02 – El Toro
03 – Fatback
04 – Mongo’s Groove
05 – Creole
06 – The Jungle Bit
07 – My Sound
08 – The Morning After
09 – Nothing for Nothing
10 – Para Ti
Bass – Victor Venegas
Congas – Mongo Santamaria
Drums – Frank Hernandez
Flûte, saxophone – Bobby Capers, Pat Patrick
Masterisé par [Remastered By] – Phil De Lancy
Percussion – Julian Cabrera, « Chihuahua » Martinez
Piano – Rodgers Grant
Trompette – Marty Sheller
PISTES:
A1 Brasil Africa 3:48
A2 Hoe Hoa 3:01
A3 Black Soul Music 3:42
A4 The Sphynx 5:00
B1 El Hombrecito 3:18
B2 Kaye Tchi Senegal 2:54
B3 Mangous Ye 3:03
B4 Magic Woman 3:27
B5 Bongo Drums 2:45
PISTES:
01. Que Maravolloso (2:49)
02. En La Felicidad (2:10)
03. Pachanga Pa Ti (2:24)
04. Tulibamba (4:01)
05. Mambo de Cuco (3:56)
06. El Bote (4:00)
07. Pito Pito (2:45)
08. Guaguanco Mania (2:31)
09. Ja, Ja-Ja (3:05)
10. Tula Hula (2:41)
11. Dimelo (2:38)
12. A La Luna Me Voy (3:07)
13. Para Ti (6:02)
Mongo Santamaria – congas
Felix Legarreta – violon
Jose Silva – violon
Rolando Lozano – flûte
Louis Valizan – trompette
Marcus Cabuto – trompette
René Hernandez – Piano
Willie Bobo – batterie
Victor Venegas – basse
Pete Escovedo – vocals
Bayardo Velarde – vocals
Rudi Chaussures – vocals